Voici le touareg presque terminé.
Blog de peinture, de portraits au pastel, de mes passions. Des photos, des paysages, et des pays.
lundi 31 décembre 2007
samedi 29 décembre 2007
Le noir.
mercredi 26 décembre 2007
Une mariée Touareg.
Cette jeune fille est une mariée Touareg. Elle a été exécutée à partir d'une photo du National Geographic dont je m'inspire beaucoup. Après un certain temps, je me suis rendue compte que la jeune fille a la même pose que la Joconde, sourit faiblement comme la Joconde, et l'arrière plan n'est pas élaboré suffisamment comme celui de la Joconde. Loin de moi l'idée de la comparer à cette grande dame pourtant (je parle du tableau bien sûr).
Une femme des steppes du centre Tunisien.
Cette femme souriante à souhait peut être considérée comme mon premier pastel réussi et satisfaisant. Exécutée sur du papier velours de couleur grise, d'après une photo prise par Michael Tomkinson.
Elle a eu un accueil chaleureux dans beaucoup de blogs et de sites d'artistes. En voici un témoignage :
Jeune berbère timide.
vendredi 21 décembre 2007
Geronimo
lundi 17 décembre 2007
Peinture Acrylique
Le dessin et la peinture sont une de mes passions.
Mais je ne suis jamais satisfaite de ce que je fais. Parfois je suis prise de transe et il me faut un crayon et du papier pour commencer, mais j'ai toujours peur de commencer un nouveau dessin. Je me dis que s'il est raté je ne m'en remettrai pas facilement. Et c'est presque toujours le cas. Alors ça me refroidit pendant un bon moment. Et ensuite je recommence.
Voici une de mes dernières peintures, un tableau encore incomplet de trois descendantes d'esclaves au Brésil. La toile fait 1, 80 m sur 0,90 m. Il s'agit d'une acrylique que je mettrai à jour sur le blog au fur et à mesure des évolutions.
mercredi 5 décembre 2007
Pour moi, il existe différents mondes.
Le monde des rêves, quand on se réveille comme si on y était, et qu'on passe la journée à essayer de retenir un rêve plaisant! ou au contraire quand on passe une mauvaise journée à cause d'un rêve désagréable.
Le monde du travail, quand on est au boulot et qu'on oublie le reste du monde.
Le monde avec les proches et les parents.
Le monde sans les proches et les parents.
Le monde des amis.
Le monde de quand j'étais à Paris, un monde à part, une autre vie.
Le monde de quand mon père était encore vivant, une vie parallèle.
Le monde de quand j'avais dix huit ans, pourquoi nous est il impossible d'y retourner, même pour une journée?
Le monde de quand la maison de mes parents était encore pleine.
Le monde avec ma grand mère, et le monde sans elle.
Le monde des voyages, quand on est en vacances et pas d'autre soucis à part où aller aujourd'hui et où manger?
Le monde vu à travers une maladie, quand on ne pense, on ne sent, et on ne goûte qu'à travers elle. Quand l'avenir semble incertain et que l'on se dit : "si j'en réchappe je vivrai autrement".
Le monde, le meilleur des mondes, celui avec mon fils.
Chacun de ces mondes, je le vis pleinement comme si c'était le seul. Chacun de ces mondes prend une forme réelle, un jour ou l'autre.
Mais pourquoi n'existe-t- il pas un être unique, un être qui ne vit que dans un seul monde, toujours le même quelque soit ce qui se passe autour de lui? Serait-ce un robot à ce moment là? Peut on l'appeler être humain malgré tout! Serait-il insensible? Ou serait il plus heureux, que nous les gens normaux!
Le monde des rêves, quand on se réveille comme si on y était, et qu'on passe la journée à essayer de retenir un rêve plaisant! ou au contraire quand on passe une mauvaise journée à cause d'un rêve désagréable.
Le monde du travail, quand on est au boulot et qu'on oublie le reste du monde.
Le monde avec les proches et les parents.
Le monde sans les proches et les parents.
Le monde des amis.
Le monde de quand j'étais à Paris, un monde à part, une autre vie.
Le monde de quand mon père était encore vivant, une vie parallèle.
Le monde de quand j'avais dix huit ans, pourquoi nous est il impossible d'y retourner, même pour une journée?
Le monde de quand la maison de mes parents était encore pleine.
Le monde avec ma grand mère, et le monde sans elle.
Le monde des voyages, quand on est en vacances et pas d'autre soucis à part où aller aujourd'hui et où manger?
Le monde vu à travers une maladie, quand on ne pense, on ne sent, et on ne goûte qu'à travers elle. Quand l'avenir semble incertain et que l'on se dit : "si j'en réchappe je vivrai autrement".
Le monde, le meilleur des mondes, celui avec mon fils.
Chacun de ces mondes, je le vis pleinement comme si c'était le seul. Chacun de ces mondes prend une forme réelle, un jour ou l'autre.
Mais pourquoi n'existe-t- il pas un être unique, un être qui ne vit que dans un seul monde, toujours le même quelque soit ce qui se passe autour de lui? Serait-ce un robot à ce moment là? Peut on l'appeler être humain malgré tout! Serait-il insensible? Ou serait il plus heureux, que nous les gens normaux!
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